Succès : 450 personnes étaient présentes à la Première journée nationale sur les écrits de Maria Valtorta

« J’ai eu la joie de participer à la première journée nationale sur les écrits de Maria Valtorta, le samedi 28 mai 2016, dans le 16e arrondissement de Paris, et j’ai également eu la joie que mon mari m’accompagne l’après midi pour les conférences.
Le matin, je suis arrivée vers 9 h 20 près de la Chapelle Sainte Bernadette, dans le quartier parisien d’Auteuil.
Pour entrer dans la grande chapelle, il faut descendre. Au fond, une mosaïque des apparitions à Bernadette ;  Marie, notre Mère, nous accueille. Nous avons démarré la journée en la lui confiant ; nous égrenons les mystères du Rosaire : mystères joyeux, douloureux, et 4 mystères glorieux seulement, car c’est l’heure de la messe, concélébrée par trois prêtres, dont le Père Yannik Bonnet.

Après la messe nous sommes invités, pour ceux qui s’étaient inscrits, à traverser la rue et à nous retrouver à 50 mètres, salle Chasseloup, pour le déjeuner, et un temps de connaissance et d’échanges. Devant l’afflux des inscriptions, ce n’est pas un déjeuner chaud, mais des sandwichs qui nous sont servis, prix adapté bien sûr, pour les 70 personne présentes.
Je me suis retrouvée face à une personne qui avait habité près de là où habitent mes parents, en province, et elle connaissait bien la Mère Abbesse d’un couvent voisin ! Mon voisin de gauche, quant à lui, a découvert les écrits de Maria Valtorta d’une manière extraordinaire, par une voix qu’il a entendue de ses oreilles, et en faisant une recherche sur internet ensuite! Cela invite à l’humilité, et à reconnaître la grandeur du Seigneur qui agit comme il l’entend.


Pendant ce temps, nous pouvions regarder et acheter des livres, la plupart rédigés par Maria Valtorta, d’autres  concernant  l’étude de ses écrits ou de sa vie ; la bande dessinée sortie en janvier, La Fille du Temple, en était un exemple : je recommande la lecture de cette BD, les textes et les dessins sont magnifiques, tirés des livres de Maria Valtorta.

Après le déjeuner, nous sommes invités à bouger à nouveau de 150 mètres environ, pour rejoindre l’église Notre Dame d’Auteuil, beaucoup plus grande que la salle qui nous accueille. En effet, nous sommes plus de 400 personnes inscrites !
J’y retrouve mon mari (merci le téléphone portable) et nous écoutons Bruno Perrinet nous présenter les intervenants.
Le premier nous interpelle sur la véracité des détails décrits par Maria Valtorta dans ses écrits : émerveillement devant la « connaissance », impossible à vue humaine, de ce monde palestinien, hébraïque, grec et romain du temps du Christ. Toutes les découvertes scientifiques récentes, tant archéologiques qu’astronomiques ou historiques, confirment extraordinairement les écrits de Maria Valtorta. Comme disait le conférencier « c’est une preuve à la Saint Thomas » : lui qui a « touché » Jésus pour croire, nous « touchons » également ces preuves scientifiques !
Suit l’exposé de François Michel Debroise, également auteur de livres scientifiques sur Maria Valtorta. Il nous parlera de l’histoire mouvementée des écrits de Maria Valtorta, approuvés oralement par Pie XII, mais contrecarrés par des personnes influentes de la Curie de l’époque. Le fait qu’ils aient été mis à l’ « index » ne doit pas nous faire peur ; beaucoup de papes et de saints bien connus ont approuvé et recommandé les écrits de Maria Valtorta (Jean Paul ll et Padre Pio entre autres). L’index n’existe plus depuis Paul VI.


Le témoignage du Père Yannik Bonnet, dernier orateur, nous a touchés. Sa découverte de Maria Valtorta en tant que laïc, au moment du cancer de sa femme, l’a beaucoup aidé à être présent à ses enfants au moment du décès, et après. Une fois devenu prêtre, ces livres l’aident désormais dans la pastorale des fidèles. En nous donnant quelques exemples pratiques de personnages décrits par Maria Valtorta, il nous a montré comment Jésus, très respectueux de chacun, réagissait toujours de manière adaptée aux demandes ou aux souffrances qu’il rencontrait. C’est donc une aide précieuse pour son apostolat de prêtre. Maria Valtorta ayant une analyse très fine des personnes et des caractères, elle raconte très bien, avec humour parfois, les visions dont elle a été gratifiée.

Après ces moments denses et émouvants, nous repartons de nouveau dans la salle Chasseloup pour un temps de rencontre, d’achat de livres et de découvertes d’auteurs.

Pour moi qui ai toujours été assez seule dans mon entourage à lire Maria Valtorta, cela a été très important de rencontrer ces chrétiens de tous horizons, ayant bien la tête sur les épaules et les pieds sur terre, et aimant ces livres. Maria Valtorta va-t-elle enfin être reconnue à la mesure de ce qu’elle peut apporter à l’Église et aux hommes de notre temps ? »

Agnès Buet

Les articles les plus consultés sur ce site :