4000 preuves d'authenticité des visions de Maria Valtorta


Maria Valtorta fournit plus de 4000 détails spatio-temporels qui ont permis de reconstituer les trois années de la Vie publique de Jésus au jour le jour

L'analyse méthodique de ces milliers d'indices permet de reconstituer peu à peu des suites d'événements reliés entre eux par des expressions comme "le lendemain", "trois jours plus tard", "le sabbat suivant" "après demain" etc. Ces suites d'événements forment comme des trains, dont un événement majeur, comme une fête juive (Pâque, Tabernacles, Encénies etc.) ou une nuit de pleine lune en un mois donné constituerait la locomotive. Au final ces trains d’événements mis bout à bout permettent de reconstituer la totalité des trois années de la Vie publique de Jésus, et même d'imaginer un système de datation cohérent. Car, et c'est là un des paradoxes de cette œuvre, tout comme les Évangiles, le récit de Maria Valtorta ne comporte aucune date.

Maria Valtorta consacre 594 chapitres pour décrire cette période qui a duré 1224 jours, et il lui a "suffi" de 610 jours pour rédiger tout cela, ce qui est vraiment "stupéfiant" ! Maria Valtorta détaille plus d'un jour sur trois de la Vie publique (425 journées). Mais l'analyse de son récit montre qu'il "recouvre" en fait 824 journées, soit 67% de la Vie publique, dans une cohérence absolue. C'est bien entendu un fait sans précédent dans toute l'histoire de la littérature chrétienne mondiale.

Maria Valtorta n'a pas reçu toutes ses visions dans l'ordre

C'est un autre fait remarquable qu'il faut souligner. Maria Valtorta n'a pas reçu toutes ses visions dans un ordre chronologique. Jésus lui donnait un jour la vision de la passion, puis le lendemain pour la réconforter, une vision de son enfance. Certaines visions ont pu être données en fonction du calendrier liturgique par exemple. Il s'en suit des situations assez déroutantes, comme par exemple quand Maria Valtorta "reconnaît" immédiatement la romaine Plautina lors de la première rencontre de celle-ci avec Jésus, au début de la vie publique, parce qu'elle avait reçu un an auparavant la vision de la Passion, dans laquelle cette même Plautina intervenait.
De telles situations, assez fréquentes dans l'œuvre, et totalement impensables pour l'auteur d'un roman, constituent une des innombrables preuves d'authenticité de ces visions.

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