Monseigneur Ottavio Michelini et Maria Valtorta

Maria Valtorta (1897-1961) est une mystique italienne qui a bénéficié de visions et de dictées de Jésus, faisant de ses écrits une des révélations privées majeures. Son oeuvre principale est L'évangile tel qu'il m'a été révélé.

Mgr Ottavio Michelini (1906-1979) est un prêtre italien qui a reçu les confidences de Jésus les quatre dernières années de sa vie. Elles sont éditées aux éditions du Parvis sous le titre Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles, livre dont des extraits sont montrés dans cette vidéo :



Extrait de Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles.

Voici, ci-dessous, l'intégralité de la dictée du 22 janvier 1976, "La saveur du divin" :

NB : Cette dictée se trouve dans la version intégrale en 6 volumes  de Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles, épuisée depuis 1990. L'édition actuelle en un volume unique reprend la plupart des messages, mais non l'intégralité, et de manière thématique et non plus chronologique.

"Plusieurs fois J’ai parlé de l’actuelle crise de foi dont est infestée mon Eglise ; c’est un mal dont est contaminée l’humanité entière.
La Terre se transforme de plus en plus en un désert aride, où ne manquent pas, ça et là, des oasis reposantes qui maintiennent en circulation, dans mon Corps Mystique, la vie divine de la grâce.
Oui, mon fils, si dans un corps, tous les membres étaient morts, nous n’aurions plus un corps vivant, mais un cadavre en putréfaction.

L’Eglise ne pourra jamais totalement mourir ou se dessécher. Cela est garanti par mes paroles explicites ; personne ne peut en douter.
Cela est garanti encore par la présence de l’Esprit-Saint ; même aujourd’hui, au milieu de la pourriture des cadavres qui la recouvrent, ne manquent pas les âmes bonnes, vraiment saintes, qui ont droit à la reconnaissance, pour contribuer à la circulation de la vie divine.

Il y a quelques jours, Je t’ai parlé des prêtres du Mouvement Marial, milice choisie, voulue par mon Cœur Miséricordieux et le Cœur Immaculé de ma Mère pour le soutien et la défense de mon Eglise, de mon Vicaire sur la Terre, devenu la cible de tant de flèches.
C’est une milice voulue, bénie et guidée par ma Mère, pour préparer, par la lutte contre l’effrontée et impudente tyrannie de Satan, la grande heure de la libération, la grande heure de la Reine des Victoires.

Parmi ces prêtres, il y a X. Il m’est cher par son désir de perfection et aussi par son amour pour cette œuvre merveilleuse que le monde ignore, que les orgueilleux refusent et que les humbles aiment : L’Evangile tel qu’il a été révélé à Maria Valtorta.
C’est une œuvre voulue par la sagesse et la Providence divine pour les temps nouveaux, c’est une source d’eau vive et pure.
C’est Moi, la Parole vivante et éternelle, qui Me suis de nouveau donné en nourriture aux âmes que J’aime.

Moi, Je suis la Lumière et la Lumière ne peut se confondre et encore moins se fondre avec les ténèbres.
Où Je Me trouve, les ténèbres se dissolvent pour faire place à la lumière.
Où il n’y a pas de vie, il y a la mort, et la mort est pourriture. Il y a une pourriture spirituelle qui n’est pas moins nauséabonde que la pourriture organique des corps en décomposition.
Moi, vérité et vie, eau vive et lumière du monde, comment pourrais-Je demeurer dans les âmes infectées par les concupiscences de la chair et de l’esprit ?

Cela aussi, fils, prouve que celui qui n’a pas senti dans « L’Evangile tel qu’il m’a été révélé » la saveur du divin, le parfum du surnaturel, a l’âme encombrée et obscurcie.
Il y a des évêques, des prêtres, des religieux et religieuses qui encore une fois allèguent cette prudence, pour eux cause de tant d’imprudence.
Ils se réfugient au-dedans de cette prudence, et ne savent pas qu’ils sont au-dedans de la forteresse du démon.
La prudence est une vertu, et la vertu n’a pas la nausée du Divin.

Que Don X… sache que chaque fois qu’il a relu « L’Evangile tel qu’il m’a été révélé » il M’a donné la joie pour tous ceux qui M’ont refusé cette joie.
Ne crains en rien, s’il y en a qui refusent de le comprendre.

Soyez conscients que votre bien est fort différent de celui du monde.
L’amour que nous portons aux âmes est toujours uni à la souffrance : c’est la loi.
La souffrance est un moyen non seulement utile, mais nécessaire à la transformation, à la purification et à la divinisation de l’âme.
Fils, comme il faut prier, se mortifier et réparer pour soi et pour ses frères !
Si l’heure de la purification a sonné, les bourgeons vigoureux aussi annonçant le nouveau printemps sont déjà apparus.

Courage, Moi et ma mère sommes avec vous !"

Les musiques sur la vidéo sont de Popol Vuh : "Aguirre I Lacrima di Rei" et Allegri : "Miserere mei, Deus".
Merci à Benoit.

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