Grâce au Centro Editoriale Valtortiano éditeur de l'oeuvre originale, Yves d'Horrer a travaillé à la nouvelle traduction des dix volumes de L'évangile tel qu'il m'a été révélé depuis 8 ans.
Yves d’Horrer : « C’est en 1976 que j’ai eu mon premier contact avec Maria Valtorta : j’étais à l’Arche de Jean Vanier, et un ami m’avait prêté le volume sur la Passion. Cela m’avait vivement intéressé, même si je me souviens encore aujourd’hui de mon étonnement devant la pauvreté du style, les italianismes ou les fautes de français. Peut-être avais-je déjà mon œil de correcteur... D’ailleurs, la forme avait bien peu d’importance à côté du fond....
Et puis je suis passé à autre chose, mes études de théologie à Bruxelles et à Fribourg m’ont accaparé ainsi que mes divers engagements de bénévolat. C’est en 1985 que je suis devenu traducteur, presque par hasard, à la demande des Missionnaires de l’immaculée du Père Kolbe, un institut italien qui venait de s’installer à Luxembourg. Je ne me doutais pas alors que nous partions ensemble dans une aventure qui a duré 30 ans...
Après toutes sortes d’autres traductions pour les éditions Mediaspaul, j’ai eu à traduire différents ouvrages de Padre Pio, et notamment ses Lettres à son directeur spirituel.
J’étais à la fois heureux et triste d’achever ce travail qui m’avait tant nourri quand soudain, un matin de l’an 2001, le CEV m’a proposé de traduire les œuvres de Maria Valtorta. Je me souviendrai longtemps de ce coup de fil. J’avais oublié jusqu’au nom de Maria Valtorta, je ne le comprenais pas bien, il a fallu du temps pour m’expliquer de qui il s’agissait. Alors j’en ai parlé à une amie, qui m’a dit : « Oh, tu vas vivre avec Jésus ! »
Et effectivement, pendant toutes ces années j’ai vécu avec Jésus, jour après jour. Je n’ai jamais eu l’impression de faire un travail : en m’installant devant mon ordinateur, je venais retrouver Celui qui, au fil du temps, est devenu un autre Jésus, à la personnalité beaucoup plus riche, beaucoup plus proche aussi. Un ami. J’espère que ce sera l’expérience de chaque lecteur. »
Yves d’Horrer : « C’est en 1976 que j’ai eu mon premier contact avec Maria Valtorta : j’étais à l’Arche de Jean Vanier, et un ami m’avait prêté le volume sur la Passion. Cela m’avait vivement intéressé, même si je me souviens encore aujourd’hui de mon étonnement devant la pauvreté du style, les italianismes ou les fautes de français. Peut-être avais-je déjà mon œil de correcteur... D’ailleurs, la forme avait bien peu d’importance à côté du fond....
Et puis je suis passé à autre chose, mes études de théologie à Bruxelles et à Fribourg m’ont accaparé ainsi que mes divers engagements de bénévolat. C’est en 1985 que je suis devenu traducteur, presque par hasard, à la demande des Missionnaires de l’immaculée du Père Kolbe, un institut italien qui venait de s’installer à Luxembourg. Je ne me doutais pas alors que nous partions ensemble dans une aventure qui a duré 30 ans...
Après toutes sortes d’autres traductions pour les éditions Mediaspaul, j’ai eu à traduire différents ouvrages de Padre Pio, et notamment ses Lettres à son directeur spirituel.
J’étais à la fois heureux et triste d’achever ce travail qui m’avait tant nourri quand soudain, un matin de l’an 2001, le CEV m’a proposé de traduire les œuvres de Maria Valtorta. Je me souviendrai longtemps de ce coup de fil. J’avais oublié jusqu’au nom de Maria Valtorta, je ne le comprenais pas bien, il a fallu du temps pour m’expliquer de qui il s’agissait. Alors j’en ai parlé à une amie, qui m’a dit : « Oh, tu vas vivre avec Jésus ! »
Et effectivement, pendant toutes ces années j’ai vécu avec Jésus, jour après jour. Je n’ai jamais eu l’impression de faire un travail : en m’installant devant mon ordinateur, je venais retrouver Celui qui, au fil du temps, est devenu un autre Jésus, à la personnalité beaucoup plus riche, beaucoup plus proche aussi. Un ami. J’espère que ce sera l’expérience de chaque lecteur. »